Madame la présidente, madame la ministre, madame la présidente de la commission des affaires sociales, chers collègues, quelle bien triste fin que celle du texte que votre Gouvernement porte depuis quasiment un an ! Évidemment, votre projet de loi va être adopté par une majorité encore docile et frileuse à l’idée de remettre en cause l’exécutif, à quelques jours du premier tour des élections régionales.