Intervention de Charles de Courson

Séance en hémicycle du 1er décembre 2015 à 15h00
Projet de loi de finances rectificative pour 2015 — Après l'article 12

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaCharles de Courson :

L’obligation alimentaire, aucun des groupes politiques ici présents ne veut la supprimer, puisque c’est la traduction d’une solidarité entre ascendants et descendants. Ce qui n’est pas normal, monsieur le secrétaire d’État, c’est qu’on ne la considère pas comme une ressource – car il s’agit bien de cela, lorsque vous aidez votre grand-mère ou que vous y êtes contraint par une décision de justice. Les petits-enfants peuvent en effet devoir aider la grand-mère : l’obligation est montante et descendante en lien direct.

Moi, je crois en la famille. Je pense qu’il s’agit d’un des derniers remparts de la solidarité ; c’est en tout cas là où on l’apprend. Je le répète : je ne suis pas du tout d’accord avec l’amendement.

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