Vous êtes le troisième président de l'INA en deux ans. Peut-on vous interroger sur le moral de vos collaborateurs, à votre arrivée et aujourd'hui ?
Alors que de nombreuses plateformes privilégient le gratuit, le choix pour INA Premium de l'abonnement payant – même pour une somme modeste – ne vous prive-t-il pas d'une partie du public, en particulier les jeunes ? Quelle est la progression du nombre d'abonnés ?
Le COM prévoit une stabilisation de la masse salariale à 67,5 millions d'euros alors que 25 % des salariés doivent partir à la retraite d'ici 2019. Comment utiliserez-vous cette marge de manoeuvre ?
Vous affichez une ambition commerciale et internationale, passant par la conquête de nouveaux territoires. Les équivalents européens de l'INA sont-ils une source d'inspiration, en particulier en matière de financement ?