Le FNGRA, qui intervient lors des calamités, est abondé à hauteur de 300 millions d’euros environ. Depuis que nous sommes aux responsabilités, et même avant, ce sont entre 30 et 60 millions d’euros qui sont sollicités chaque année. Ce que payent les agriculteurs via leurs assurances dépasse donc les besoins annuels. La proposition est simple : il s’agit de faire en sorte que les agriculteurs payent moins cher et de réadapter ce fonds aux besoins constatés.
Mais je le répète, l’État assume à chaque fois sa responsabilité face aux calamités agricoles et finance les dépenses qui s’avèrent nécessaires.