Je ne dirais, madame la présidente, que quelques mots à l’issue de cette discussion générale. Tout d’abord, je remercie les députés Joël Giraud et Philippe Gomes qui ont clairement identifié les difficultés. Nous partageons leur diagnostic ; en revanche, la solution envisagée par les députés Serge Grouard et Philippe Gomes, sous l’autorité, bien sûr, du rapporteur de ce texte, M. François de Mazières, nous semble inappropriée. C’est sur ce point que je voudrais insister.
Je reviendrai sur quelques-uns de vos propos, monsieur Grouard. Vous avez évoqué le fait que certains de nos militaires et de nos gendarmes, vivent dans des logements plus que vétustes, indignes. La situation est la même pour certains habitants des quartiers populaires de nos villes.