Pour ma part, je retire mon amendement pour soutenir celui de mon collègue Christian Paul. Il faut revenir sur les années passées et appliquer ce taux qui aurait dû l’être dès le début : en effet, il n’y a aucune raison, chacun le reconnaît aujourd’hui, qui justifie un taux différencié entre la presse en ligne et la presse papier.