J’en termine, madame la présidente. C’est en réalité un exercice démocratique tout à fait intéressant qui permettrait d’impliquer tous les acteurs de la société civile, comme cela a été le cas dans d’autres pays, tels que la Grèce et l’Équateur. L’exigence de démocratie et l’exercice de la souveraineté populaire doivent aussi s’appliquer à la dette. Tel est le sens de notre amendement.