L'une des modalités du contrôle que vous instaurez consiste à établir un réseau de sept correspondants. Je m'interroge sur le cinquième d'entre eux : le parquet de Paris. Comment un procureur pourrait-il ainsi être tenu de répondre à une commission parlementaire sans enfreindre le principe de la séparation des pouvoirs – a fortiori lorsqu'il a lui-même été désigné par le Gouvernement ? Ne serait-il pas plus conforme au fonctionnement de nos institutions que le directeur des affaires criminelles et des grâces du ministère de la justice soit notre correspondant, et non un magistrat en exercice ?
D'autre part, envisagez-vous de rendre nos travaux publics ?