Je suis très gêné, Monsieur le président. Il faut que nous trouvions une solution. Historiquement, du reste, c'est toujours avec les petits groupes que se posent les problèmes – les grands trouvant toujours un consensus. Il faut procéder à une association en amont, éventuellement dans le cadre d'une structure intermédiaire, de sorte que vous ayez tous deux, rapporteur et co-rapporteur, la possibilité d'être à chaque fois accompagné d'un représentant de l'un des groupes de l'Assemblée nationale. Il nous faut trouver une solution médiane entre le contrôle quotidien des deux rapporteurs et la réunion de la Commission. Sans quoi nous serons obligés de ne pas participer au vote – et j'en serai très malheureux. C'est pour nous une question de principe.