Monsieur le directeur général, vous avez fait une présentation très claire de l'état de nos routes et évoqué l'importance du secteur routier pour l'avenir, y compris du point de vue économique. Il y a une très grande marge entre l'idéal et le réel. La réalité, c'est que l'état des routes est préoccupant. J'ai bien compris que la diminution des crédits remontait non pas à 2012, mais à 2009. Nous pouvons donc déterminer quelles sont les responsabilités.