Ce n'est pas parce que tous les crédits alloués au CGLPL n'ont pas été consommés que la question des emplois ne se pose pas, madame la rapporteure spéciale.
Par ailleurs, je n'ai pas incriminé l'institution du Défenseur des droits ; j'ai seulement observé qu'elle procédait d'une réforme constitutionnelle un peu hâtive qui, pour paraphraser Lewis Caroll dans Alice au pays des merveilles, a mélangé des choux et des bateaux. C'est d'ailleurs ce qui explique la difficile mise en oeuvre de cette institution.