Ces propos, accusant Mme Pécresse de favoriser la race blanche, doivent être poursuivis pénalement.« Et Morano ? » sur quelques bancs du groupe socialiste, républicain et citoyen.)
La deuxième insulte, monsieur le Premier ministre, nous la subissons quand le président de l’Assemblée nationale n’a pas le courage de venir s’expliquer devant l’hémicycle.