Vous avez indiqué par votre question, monsieur le député, le contexte qui prévalait il y a un mois et le niveau de menace qui pèse sur notre pays. Je tiens à dire à la représentation nationale qu’il reste extrêmement élevé.
Parce qu’il y avait un péril imminent qui résultait du fait que l’ensemble des terroristes n’avait pas été mis hors d’état de nuire, nous avons décidé de l’état d’urgence après que le Président de la République avait fait, la nuit même des attentats, une déclaration pour en annoncer le principe.