Concernant l'impact sur l'emploi d'un abandon éventuel de la filière diesel, les équipementiers fournissant tous les véhicules, il s'agirait donc pour eux de se repositionner. Si un marché disparaissait, nous nous repositionnerions, ce qui entraînerait un coût. En effet, poussés par la législation et les constructeurs, nous avons fait des investissements importants dans le diesel et nous avons trouvé d'excellentes solutions. Mais il est toujours difficile d'obtenir le retour sur investissement espéré lorsqu'une activité est interrompue. C'est un vrai sujet de préoccupation pour nous.