Je conclurai en évoquant ceux de nos amendements, et non des moindres, qui ont connu un destin plus funeste au Sénat. Il s’agit d’abord, bien sûr, de celui qui supprime l’exonération des transactions intrajournalières de notre impôt de bourse national, au taux pourtant très faible de 0,2 %, à effet du 31 décembre 2016, comme cela avait été âprement négocié avec le Gouvernement.
Ayant dépassé mon temps de parole, je vais conclure, monsieur le président : toutes ces mesures, ajoutées à des réductions de fiscalité – la demi-part pour les anciens combattants, la réduction d’impôt pour 8 millions de foyers fiscaux, entre autres – nous amènent, monsieur le secrétaire d’État, à voter favorablement ce budget.