.. et, le jour où il y a un problème, considérer que nous sommes les mercenaires qui doivent payer, en argent et par le prix du sang, le prix de la sécurité de nos amis européens.
Cette conception de l'Europe n'est pas la mienne. C'est une sorte d'Europe à la carte où l'on vient se servir, où l'on entre pour prendre ce qui est utile – le marché unique, peut-être la monnaie, voire la circulation des hommes et des personnes à l'intérieur de l'Union – mais quand il s'agit de sécurité commune, il n'y a plus personne.