Nous souhaitions en effet, non pas une carte, mais une liste des carences. Nous devons être cohérents. Si nous adoptons la règle du « premier arrivé, premier servi », peut-être faut-il envisager également, dès lors que les candidats satisfont aux conditions exigées pour être avocats au Conseil d'État et à la Cour de cassation, d'autres critères. J'ajoute qu'il ne me paraît pas utile de faire appel à une commission composée d'un conseiller d'État et d'un conseiller à la Cour de cassation, car ceux-ci se trouveraient, me semble-t-il, dans une situation de conflit d'intérêts.