On observe un peu de « diesel bashing », c'est évident. Dans les premiers jours qui ont suivi, le contrecoup s'est traduit par une baisse de la fréquentation des halls d'exposition.
Le problème se pose pour les loueurs et les flottes, d'abord au sujet du coût de la reprise des véhicules concernés. Tous les loueurs, de courte ou longue durée, remettent leurs véhicules sur le marché ou les exportent.