Nos partenaires syriens, qui gèrent les centres de soins, sont des responsables locaux, des médecins et des infirmières apolitiques. Nous ne poursuivons nos activités que si nous restons indépendants. Les conditions de travail sont particulièrement périlleuses notamment à cause des bombardements. Nous ne délivrons que des soins primaires à un public qui est composé à 60 % de femmes et d'enfants. Nous sommes donc dans notre rôle de soutien aux populations civiles.
À ma connaissance, aujourd'hui nous ne puisons pas dans la réserve citoyenne, mais nous devrions sans doute le faire car je connais la qualité et les compétences de ceux qui la composent. Il faut toutefois trouver des personnes disposées à quitter le territoire national pour plusieurs mois.
Monsieur Thierry Mariani, je connais vos compétences et votre parcours, j'ai pris note de vos remarques concernant le fait que nous aurions pu faire appel…