L'objectif de la proposition de loi est certes louable, mais nous proposons d'adopter une notion beaucoup plus large : certains aliments fournis à la restauration collective ne sont pas produits localement, tels le cacao ou les abricots pour faire des yaourts ou des entremets. La notion de proximité s'avère trop restrictive ; mieux vaut privilégier celle de filières d'alimentation durable.