Le 13 novembre à midi, je me trouvais à l'hôpital français de Damas devant des enfants qui avaient subi de graves blessures causées par l'explosion d'une bombe quinze jours auparavant dans une cour de récréation. Si un attentat avait lieu en France dans la cour d'une école située en zone rurale, il y aurait de quoi être inquiet car les secours bénéficient de moyens importants à Paris, mais la situation est moins favorable en province. Votre retour d'expérience permettra-t-il de mettre en place des plans visant à répondre à ce que vous appelez, général, la guerre de demain ?