venaient du territoire français hors Paris. Cela montre la vitalité de la french tech, ainsi que des treize labels qu’Axelle Lemaire et moi-même avons décernés depuis deux ans à la suite d’une initiative qui avait été prise par Fleur Pellerin. Cela montre également la vitalité économique de cet entreprenariat dans l’ensemble du territoire : il crée des emplois non seulement d’entrepreneurs mais aussi de production, s’agissant des objets connectés, comme à Angers ou à Toulouse.
Ensuite, plusieurs grands groupes et entreprises de taille intermédiaire étaient également présents. La clé du succès, la diffusion de l’innovation passe par les contrats, les partenariats, parfois les acquisitions que ces entreprises noueront, car c’est de cette manière qu’elles transformeront leur modèle économique et feront croître l’économie de l’innovation.
Enfin, ce projet est au coeur de l’industrie du futur : la montée en gamme, la différenciation de notre tissu industriel dans toutes ses composantes passent par ce truchement et permettront à notre économie par l’innovation, par l’investissement privé, de créer davantage d’emplois dans notre territoire.