Monsieur le député, vous avez rappelé que la crise n’était pas derrière nous, c’est vrai. Nous avons affaire à une crise du marché de l’élevage, qui porte sur le lait. Je l’ai déjà dit et je ne reviendrai pas sur la désorganisation du marché puisque la fin des quotas laitiers a été décidée en 2008. Il ne s’agit pas aujourd’hui de revenir en arrière.