Cet amendement vise à ne pas faire de l'internet une cause aggravante pour les délits de harcèlement et d'apologie du terrorisme. Ce n'est pas la technologie qui fait le délit, qui reste tout aussi grave si l'internet n'est pas utilisé ! Personne n'avait, à l'époque, considéré l'utilisation du Minitel comme une circonstance aggravante. Mais, depuis quelques années, le numérique est devenu une sorte de bouc émissaire facile.