L'immigration clandestine concernerait 30 000 à 60 000 personnes. La frontière avec le Surinam est facile à franchir puisqu'il suffit de traverser le fleuve Maroni. Toutefois, le facteur migratoire ne me paraît pas représenter le principal problème dans la mesure où le Surinam est en plein développement. Le tourisme, et plus particulièrement l'écotourisme, constitue évidemment un extraordinaire gisement. Quant aux routes évoquées par M. Bertrand Pancher, je précise qu'il y en a peu et que la forêt ne subit pas de dégradation particulière en raison de la voirie.