Il ne suffit pas d'énoncer les droits en matière de traitement des données à caractère personnel – le droit de rectification, par exemple – pour que leur exercice soit simple ; en réalité, il est souvent très complexe et les internautes ne s'y retrouvent pas. Quitte à enfoncer des portes ouvertes, l'amendement CL135 vise à préciser que ces droits s'exercent « de manière explicite et simple » car, aujourd'hui, tout est fait pour noyer le poisson.