Cet amendement, ainsi que l'amendement CL383, portent sur ce qu'il est convenu d'appeler la « vengeance pornographique » (revenge porn). Ce phénomène tend à s'amplifier sur les réseaux sociaux, parfois même sur des sites dédiés, ce qui est assez inquiétant.
Je vous invite à retirer ces amendements et à les retravailler directement avec la Chancellerie afin de parvenir à une rédaction – je sais que vous y êtes sensible – pertinente et efficace.