Le président me suggère de parler de déséquilibre parfait plutôt que d'équilibre imparfait. (Sourires.) Quoi qu'il en soit, je propose qu'on en reste à la démarche volontaire : chaque acteur – opérateur, représentant de l'État, collectivité ou groupement – doit pouvoir décider s'il souhaite ou non y participer sans qu'on le lui impose.