En 2005, il y a eu trois semaines d’émeutes urbaines en France et trois semaines d’un état d’urgence qui était dicté non par le terrorisme, mais par votre incapacité à maintenir l’ordre, après un mot malheureux du ministre de l’intérieur de l’époque. Étions-nous dans un pays capable de faire régner l’État de droit ? Je vous pose la question.