Je remercie le président Schwartzenberg, car il vient de démontrer indirectement la nécessité de mettre un terme à l'état d'urgence tel qu'il est appliqué aujourd'hui ! L'expression « péril majeur » peut conduire à prolonger indéfiniment l'état d'urgence, et nous ne pouvons envisager de rester sous le coup d'un état d'exception permanent ; c'est pourquoi nous préférons, à tout prendre, le terme « imminent ».