Avis défavorable, pour deux raisons. D'abord parce que la plurinationalité est aujourd'hui possible en France et que très peu de pays dans le même cas l'ont inscrite dans leur constitution. Ensuite, la déchéance de nationalité visée à l'article 2 ne concerne plus, dans la nouvelle rédaction proposée par le Gouvernement, les citoyens binationaux. La question ne se pose donc plus.