Ma dernière question dépasse un peu le cadre de la désensibilisation. Aujourd'hui, l'ensemble des collectivités locales paient 3 milliards d'euros d'intérêts par an, ce qui n'est pas négligeable ; certaines d'entre elles tentent donc de renégocier leurs prêts, dont les taux sont élevés. Comment se fait-il, selon vous, que, dans le contexte que vous venez d'exposer, nombre d'établissements refusent cette renégociation, qui permettrait d'abaisser ces taux fixes de 4 % ou 4,95 % à 2,5 % ou 2 % ?