En cette année du bicentenaire de la Caisse des dépôts et consignations, on mesure le gâchis qu'a été la privatisation, en 1993 du Crédit local de France. S'il était resté dans le périmètre de la Caisse des dépôts, nous aurions sans doute évité la plupart de ces dérives. Par ailleurs, nombreux sont les élus qui se doutaient que ces prêts étaient frelatés. D'ailleurs, n'importe quel cadre de catégorie B de la fonction publique territoriale était en mesure de les détecter. Tout cela est donc un vaste gâchis !