Le président de la République, devant le Congrès des maires, a reconnu ce principe essentiel qu'est la liberté de conscience avant de recevoir, le lendemain, les associations « LGBT » à l'Élysée. L'Entente parlementaire pour la famille, qui regroupe 213 parlementaires dont je fais partie, demande quant à elle depuis trois mois à y être reçue, mais cette demande est restée sans réponse…
Un tel mépris des élus se retrouve dans les propos de la majorité lorsqu'elle rejette l'objection de conscience, même si celle-ci, nous en sommes d'accord, ne doit pouvoir être invoquée que dans de rares cas : toute la question est de savoir si les principes dont nous parlons – altérité sexuelle et éducation de l'enfant par un père et une mère – en font partie. Il s'agit en un mot, chers collègues de la majorité, de respecter ceux qui ne pensent pas comme vous, s'agissant de principes qui peuvent heurter la conscience.
L'objection de conscience, qui existait pour le service national, existe encore, je le rappelle, pour les médecins, les avocats et les chercheurs qui travaillent sur les embryons humains.
Le 22/01/2013 à 18:31, JG BOSELLI a dit :
Bravo Xavier, Pardon, Monsieur le Député,
Toute la France et le Monde, peuvent constater que, le pouvoir malheureusement en place, n'a pas, qu'une parole. Le Président de la République, dont je respecte la Fonction, est malheureusement très trouble dans tout ses propos. Ce manque de respect, devient progressivement insupportable dans toutes les tranches de la population Française.
Notre Président Normal et ses affidés devraient méditer sur la citation suivante :"A la base de notre civilisation, il y a la liberté de chacun dans sa pensée, ses opinions, son travail, ses loisirs"(Oxford 25/11/41, Ch de Gaulle)
A bientot
Jean Gabriel Boselli
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