Monsieur le ministre, vous n'avez répondu à aucune de nos questions. Nous avons tous posé celle de l'explosion du coût de la dépense par rapport au nombre de bénéficiaires, qui impose une gestion plus rigoureuse ainsi que d'éviter les abus et les fraudes.
Au-delà, nous avons posé trois questions très précises : maintenez-vous, oui ou non, l'entente préalable ?