Les vertus et les avantages de notre régime juridique du cinéma viennent d'être abondamment rappelés. Ne faut-il pas, pour autant, le faire évoluer afin qu'il perdure ? Davantage de transparence dans ses modes de financement ne ferait pas de mal…
Concernant le montant des cachets, peut-être faudrait-il, en effet, logiquement intéresser les acteurs aux recettes.
Les avances sur recettes ne seraient, selon l'inspection générale des finances, remboursées qu'à hauteur de 10 à 12 %. Cela signifie-t-il que la majorité de la cinquantaine de films recevant chaque année des avances ne serait pas rentable ?