On peut constater les difficultés de l'outre-mer en général, et celles de La Réunion en particulier. Mais ne comptez pas sur moi pour faire passer des messages qui ne seraient que pessimistes. Car nous avons des potentialités.
Comme je l'ai rappelé en fin de semaine dernière devant un autre public, La Réunion a connu des moments bien plus difficiles entre 1939 et 1942, quand elle a dû vivre en totale autarcie. Et aujourd'hui comme alors, nos chefs d'entreprise sont capables de faire preuve d'innovation. Ils pourront s'en sortir, à condition qu'on mette à leur disposition certains outils. C'est la raison pour laquelle je vous ai parlé de la Banque publique d'investissement, des exonérations de charges sociales et du FRDE, qui pourraient les aider.