Quand nous décidons de restructurer les 700 branches professionnelles, alors que cela fait trente ans que l’on en parle, pour passer à 400 d’ici à la fin de l’année et à 200 d’ici à deux ans, cela ne vous convient pas non plus alors que vous n’avez rien fait.
Quand nous proposons de changer radicalement d’approche, pour laisser plus de place à la négociation collective de branche et d’entreprise, vous dites que nous n’allons pas assez loin.