Il se trouve que l’an dernier, lors d’une visite dans le Vaucluse, nous avons évoqué la question de cette mouche qui s’attaque effectivement aux cerises ainsi qu’aux olives et qui nécessite l’utilisation d’un produit, le diméthoate. J’avais alors proposé de diminuer les doses de celui-ci et de fixer des limites maximales d’utilisation avant la vente, ce qui avait recueilli l’accord des arboriculteurs.