Mais suite à une enquête et un rapport de l’ANSES –Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail – s’est posée à nouveau la question de ce produit, substance dangereuse qui nécessite que l’on réévalue son utilisation.
Une réunion s’est tenue la semaine dernière au ministère de l’agriculture pour réévaluer cette question. Il se trouve que l’entreprise qui produit une telle substance n’a pas souhaité déposer un nouveau dossier qui nous permettrait d’étudier les conditions de l’utilisation du diméthoate.
Je ferai tout, monsieur le député, pour trouver des solutions, en particulier en incitant la production à prendre des engagements collectifs, et imaginer des alternatives. Nous allons inciter l’entreprise à déposer son dossier et étudier les méthodes et la manière dont nous pourrons utiliser en toute sécurité ce produit afin que la production de cerises et d’olives perdure en France.