Il nous semble notamment qu'il n'y a pas, à ce jour, assez d'acteurs suffisamment diversifiés dans le domaine du capital-risque. Un monopole dans cette activité ne laisse place qu'à une seule thèse d'investissement, ce qui risque d'évincer les projets les plus risqués. Il ne s'agit pas de prendre des risques démesurés dans la prise de participation à certaines entreprises, mais de mieux qualifier le risque au regard des spécificités de chacune des filières, ce qui demande une connaissance fine des marchés et une expertise technique. Notre réflexion sur le capital-risque, c'est qu'il doit être diversifié pour mieux couvrir l'ensemble des besoins.