Intervention de Monique Iborra

Réunion du 10 février 2016 à 9h30
Commission des affaires sociales

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMonique Iborra :

Nous avons bien compris qu'il était difficile de poser un diagnostic sûr et d'évaluer précisément les conséquences de l'infection chez la femme enceinte. Vous avez dit, monsieur le professeur, qu'il fallait considérer que celle-ci était un bien précieux et devait être surveillée de très près ; mais que faut-il surveiller si l'on a du mal à mettre en évidence la maladie ? L'OMS recommande de réaliser des avortements et de mettre en place une prévention en matière contraceptive. Dans certains pays, cela se fait naturellement ; dans d'autres, c'est moins évident. Monsieur le directeur, comment est organisée cette surveillance en Martinique ? Au-delà des mesures que vous avez annoncées – notamment des lits supplémentaires dans les centres hospitaliers –, comment protège-t-on dans la pratique ces femmes contre le risque de microcéphalie du foetus ?

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