Pour nos territoires, il n’y a pas de plan B ! Si l’agriculture et l’agroalimentaire s’effondrent, il n’y a pas de solution de remplacement immédiate.
Aujourd’hui, l’Europe ne bouge pas. La parole de la France n’est plus entendue : on a pu le constater hier. Mais, monsieur le Premier ministre, il y a des choses qui ne dépendent que de nous. La baisse des impôts, condition de la compétitivité, ne dépend que de nous. La baisse des charges, condition de la compétitivité, ne dépend que de nous. L’allégement des contraintes administratives, condition de la compétitivité, ne dépend que de nous.
Monsieur le Premier ministre, c’est pour cela que ceux qui se réuniront en masse, samedi, à Loudéac, vous demanderont très solennellement un rendez-vous pour que nous puissions traiter avec vous des sujets qui relèvent de votre compétence.