n’est pas binationale, que Louis XIV – excusez du peu – a racheté Dunkerque en 1652 et que la frontière anglaise ne passe ni à Calais ni a Dunkerque.
La situation est aujourd’hui intenable pour la population et pour le secteur économique. Je remercie l’Angleterre de l’obole qu’elle nous verse pour dresser des barrières autour de nos ports, mais l’activité du port de Calais, comme de celui de Dunkerque, n’en souffre pas moins.