Sur le principe, nous ne pouvons pas faire autrement. C'est dans l'intérêt de nos enfants et je crois que tous, tant les élus que les éducateurs, sont prêts à faire cet effort.
Aujourd'hui, nous devons effectivement répondre à un certain nombre d'interrogations, à commencer, comme l'a dit le Premier ministre, par des interrogations financières. C'est la raison pour laquelle un fonds de 250 millions d'euros existe…