C'est exact. Il serait dangereux de piloter la technologie par la seule fiscalité. Qui peut dire si, demain, on ne remettra pas en question l'essence parce qu'on lui aura trouvé quelque chose de néfaste ? On aurait l'air malin d'avoir défendu l'essence contre le diesel, après avoir favorisé celui-ci au motif qu'il émettait moins de CO2. N'oublions pas que 66 % des gens roulent au gazole aujourd'hui.