Je n'irai pas jusqu'à dire que le précédent ministre de la santé a trouvé par ce biais un moyen de subventionner de manière détournée les hôpitaux, mais on pourrait presque l'imaginer. (Sourires.) Quoi qu'il en soit, ce n'est pas de la fraude ; c'est une façon de doter les hôpitaux de crédits dont il faudrait de toute façon les doter.