Tout à fait. Nous aurons l'occasion d'en discuter avec le Gouvernement en séance publique. Et si nous sommes tous favorables à pratiquer une ouverture vers davantage de contradictoire au stade de l'enquête, nous savons bien que nous n'allons pas passer du jour au lendemain d'un système inquisitoire à un système accusatoire à l'anglo-saxonne : culturellement, nous ne sommes pas prêts à cette évolution.
Quoi qu'il en soit, je vous remercie pour la qualité de cet échange.