Le souci de notre rapporteur pour avis est précisément d'assurer une traçabilité au-delà d'un montant de 1 000 euros. Sous réserve des réponses qui seront données à Dominique Lefebvre, le dispositif proposé est cohérent. En effet, si les résidents peuvent recharger ces cartes en espèces pour plus de 1 000 euros, le plafonnement des paiements en espèces peut tout à fait être contourné.
Quant à la question des non-résidents, à ma connaissance, l'identité de qui paie en espèces au-delà d'un certain seuil est relevée. Il y a donc aussi une certaine traçabilité.