Mme la ministre s'est donné pour objectif d'atteindre un taux de 1,2 % des journées d'hospitalisation en HAD, auquel nous ne sommes pas parvenus, pour des raisons tout à fait compréhensibles. Cela étant, certains pays étrangers atteignent 3 %, 5 %, voire 6 %. Cet horizon vous semble-il atteignable ? Et vous paraît-il judicieux, compte tenu des spécificités de notre système de prise en charge sur le plan sanitaire ? Existe-t-il, dans le sous-ensemble des établissements médico-sociaux, un ratio similaire ou même supérieur, compte tenu du caractère chronique de ces pathologies ?